Au nom du père
Avec La danse des pères (Zoé) Max Lobe revisite l’histoire de ses pères, biologiques, politiques ou spirituels, pour comprendre son identité et se libérer des blessures du passé. C’est également à la figure complexe de son père à laquelle s’attache Anthony Passeron dans Jacky (Grasset) à travers les souvenirs d’enfance, les jeux vidéo et les drames familiaux. Les deux romans interrogent la puissance et l’ambivalence du lien père-fils, entre quête de soi, désir d’émancipation et de reconstruction.