Odyssées islandaises

Autres poèmes

Dans son recueil, Stéphane Blok compile depuis 2014 ses flâneries et réflexions sur le monde, interrogeant avec justesse notre rapport à la nature. Il nous lira, chantera, récitera ces Autres Poèmes, en s’accompagnant de sa guitare.

Connait-on la chanson ? Valse littéraire

C’est l’événement devenu incontournable du Livre sur les quais, qui pour la deuxième année consécutive présente cette création originale.

Le principe : Réunir 4 autrices et auteurs, un pianiste et une chanteuse pour un moment endiablé !

Ils et elles choisissent leurs deux tubes préférés et écrivent un texte inédit et libre inspiré par cette playlist. Sur scène alternent les lectures de textes et les chansons.

Un moment magique où imagination littéraire et création musicale se mêlent et vous entraînent sur la piste ! Laissez-vous transporter sur le rythme de ces chansons cultes.

Roches tendres

Roches tendres relate avec délicatesse et sobriété le souvenir d’une maison vouée à disparaître, en restituant quelques bribes de vie d’une famille sur trois générations et l’ardeur d’un amour qui a su résister au temps. La lecture est accompagnée par une bande sonore onirique à la guitare électrique. Les textes de Julien Burri et les notes de Stéphane Blok se répondent tels des joyaux à l’état brut.

Le guerrier de porcelaine

Ce sont les derniers mois de guerre, vus à hauteur d’enfant, que fait revivre Mathias Malzieu, mêlant sa voix à celle de son père, Mainou. Ce dernier va rencontrer une famille qu’il ne connaît pas encore, découvrir avec l’oncle Emile le pouvoir de l’imagination, et trouver là la force de faire son deuil et de survivre dans une France occupée.

Les échappées

Les Echappées mêle lecture de poésie et de fragments avec les partitions musicales d’une contrebasse. Faire découvrir et entendre une écriture contemporaine dans une composition originale, tel est le sens de ce spectacle.

Femme du ciel et des tempêtes

Babel à la Coquette : trio de langues, trio de lectures

Les réveilleurs de soleil

André Manoukian : un bémol à la clef