Faire revue, c’est être attentif aux formes émergentes de la littérature. À Morges, en trois épisodes, « L’Écho des revues » réunit des responsables de telles publications qui croisent leurs regards : comment sont nés leurs derniers numéros ? Comment les revues choisissent-elles leurs auteurs·trices et leurs sujets ? S’esquisse ainsi une approche du travail pionnier accompli par les revues suisses.
Depuis 2017, La 5e saison veut rendre compte de livres de valeur oubliés par la critique et être une tribune pour les voix nouvelles et les expérimentations littéraires. Depuis 2011, La Couleur des jours accueille dans ses pages des auteurs·trices – journalistes ou photographes, écrivain·e·s ou artistes – en leur donnant l’espace qu’il faut pour dire l’ici et l’ailleurs.
Faire revue, c’est être attentif aux formes émergentes de la littérature. À Morges, en trois épisodes, « L’Écho des revues » réunit des responsables de telles publications qui croisent leurs regards : comment sont nés leurs derniers numéros ? Comment les revues choisissent-elles leurs auteurs·trices et leurs sujets ? S’esquisse ainsi une approche du travail pionnier accompli par les revues suisses.
L’Épître et Viceversa littérature se déclinent en une version en ligne et une version papier, dont les contenus diffèrent. Comment conçoivent-elles leur format en ligne ? Quels sont les sentiers que parcourent leurs dernières éditions papier, L’Epître VIII (PLF) et Viceversa 16 « La part sauvage » (éditions Zoé) / « Wildwege » (Rotpunktverlag) / « Per sentieri selvaggi » (Edizioni Casagrande) ?
Faire revue, c’est être attentif aux formes émergentes de la littérature. À Morges, en trois épisodes, « L’Écho des revues » réunit des responsables de telles publications qui croisent leurs regards : comment sont nés leurs derniers numéros ? Comment les revues choisissent-elles leurs auteurs·trices et leurs sujets ? S’esquisse ainsi une approche du travail pionnier accompli par les revues suisses.
La plupart des auteurs·trices confirmé·e·s ont fait leurs premiers pas dans des revues : celles-ci sont un vivier propice aux échanges et à la promotion littéraires ; elles découvrent de nouveaux talents tout en les faisant dialoguer avec des collègues plus expérimenté·e·s. Un auteur et deux autrices parlent du rôle qu’ont joué et jouent encore les revues dans le développement et la diffusion de leur œuvre, ainsi que dans leur expérience de lecture.
Faire revue, c’est être attentif aux formes émergentes de la littérature. À Morges, en trois épisodes, « L’Écho des revues » réunit des responsables de telles publications qui croisent leurs regards : comment sont nés leurs derniers numéros ? Comment les revues choisissent-elles leurs auteurs·trices et leurs sujets ? S’esquisse ainsi une approche du travail pionnier accompli par les revues suisses.
Fondée en 2014, la revue L'Ours Blanc s'intéresse aux formes novatrices de l'écriture contemporaine francophone ou en traduction. Chaque numéro est dédié à un·e seul·e auteur·trice. La Revue de Belles-Lettres, l’une des plus anciennes revues littéraires du monde francophone, est aujourd’hui une référence en matière de poésie contemporaine et fait une large place à la traduction.