L’écologie est pavée de bonnes intentions
Dans son deuxième roman, J’aime les gens qui doutent (Slatkine), Laura Gamboni met en scène la petite communauté d’un écoquartier, avec ses idéaux et ses contradictions. Laboratoire de transition durable ou ghetto bobo ? Comment construire d’autres histoires ? Son questionnement fait écho à celui de Marie Houriet : fresque polyphonique, Dorénavant (L’Aire) retrace le succès et la déroute d’un projet censé répondre aux défis du réchauffement climatique. Une subtile mosaïque de comportements en temps de crise.